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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 09:52


Et si les éoliennes nous sauvaient du black-out qui menace ?

 

Selon un communiqué du Syndicat des Energies Renouvelables, « Au moment où nous vivons une pointe historique de consommation électrique, supérieure à 91 000 MW, le parc éolien français contribue à l’approvisionnement électrique de notre pays avec une production proche de 1000 MW. Les éoliennes nous permettent déjà d’économiser l‘usage de 2 centrales thermiques et se substituent à cette production, la plus émettrice de CO2. De plus, le coût de l’électricité éolienne est inférieur à celui des centrales thermiques permettant un gain net pour la collectivité. Avec un parc de 25 000 MW installés en 2020, tel que le prévoit le Grenelle de l’Environnement, près de 10% de la production électrique sera d’origine éolienne, soit l’équivalent de la totalité de la production thermique (charbon et gaz) actuelle.

 

Grâce aux 3 régimes de vent décorrélés dont bénéficie l’hexagone, la production éolienne française est plus stable que dans tous les autres pays européens : La production éolienne du 6 janvier dernier a été d’environ 800 MW et celle du lendemain a légèrement augmenté pour atteindre les 1000 MW en soirée, au moment du pic de consommation. En outre, la production éolienne est, durant cette période de froid, supérieure à sa moyenne annuelle illustrant, encore une fois, la forte contribution de l’éolien en période hivernale, comme l’a révélé le Réseau de Transport de l’Electricité (RTE) dans son bilan prévisionnel ».

 

Source : Syndicat des Energies Renouvelables

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commentaires

G
@ Mijo<br /> <br /> 1) C’est bien connu que les ignés Supélec maitrisent parfaitement la météo ! Concernant les 1000MW, j’imagine qu’ils sont surévalués mais cela n’a pas d’importance car il s’agit d’une PUISSANCE. Hors ce qui est important, c’est l’ENERGIE produite par ces 1000MW ou en d’autres termes, elles ont tournées combien de temps ?? 10 mn ou 1 heure ? Est-ce significatif par rapport aux cas de figure similaires ? (températures très basses). <br /> Quand au sérieux des gens du SER, oui c’est sur…pour faire de l’argent sur le dos des français, ils s’y sont bien pris… Cela à été fait sérieusement ! Là, entièrement d’accord avec vous.<br /> <br /> <br /> 2) L’éolien est par définition aléatoire (oserais-je dire chaotique !) Il est évident que dans les procédures, RTE prévoit obligatoirement un plantage de l’éolien mais, au même titre que d’autres producteurs. C’est la loi ! En effet RTE doit une sécurité de fonctionnement de 1500MW (relire les rapports sur la sécurité de RTE. c’est parfaitement décrit). Il faut bien comprendre qu’un plantage de n’importe quel des producteurs en période de pointe est un incident grave qui peut entrainer des délestages voir plus. Hors, que vous le vouliez ou non, une centrale thermique à flamme ou une centrale hydraulique est évidemment bien plus fiable qu’une éolienne. Alors pourquoi coupler en heure d’extrême pointe une machine qui coute cher (à l’achat et en production), qui n’est pas fiable, au détriment de groupe qui eux sont fiables et dont le cout de revient au KWh est faible ??? <br /> Concernant le chauffage électrique, 100% d’accord avec vous. Mais la première des mesures à prendre, ne serait t’elle pas d’obliger tous les contrats EDF à passer selon la procédure TEMPO (3 type de jours avec tarifications différentes et pour chaque jours, heures de pointes et heures creuses). Evidemment, EDF va perdre de l’argent car les Français auront un outil de gestion de leur énergie… C’est une décision qui doit être prise par ce gouvernement. D’autre part, le prêt à taux 0 est une connerie de plus…Comment voulez vous que les français qui ont du mal à joindre les 2 bouts investissent dans une installation thermo dynamique (clim, pac) qui au minimum, pour une maison de 5 pièces va couter dans les 12 000 € ???? Le crédit d’impôt s’impose !!! Il doit être modulé selon les moyens des uns et des autres ! (plutôt que la valse des milliards profitent toujours aux mêmes, pourquoi ne pas dépenser cet argent pour cette cause qui, je suis d’accord avec vous, est des plus importante avec l’isolation du bâtit)<br /> <br /> 3) Le problème est de savoir ce que vous direz lorsque la France sera dans le noir pendant 24 heures suite à un black out ???? C’est déjà arrivé et rien, aujourd’hui n’a encore été fait sur le réseau pour que cela n’arrive pas. Je parle de la configuration du réseau qui n’est pas apte à recevoir les 25 GW d’éoliennes, je parle également des éoliennes qui ne sont toujours par équipées de systèmes de régulation en fréquence ou en tension…<br /> Sachez quand même qu’à l’heure actuelle, ce sont les grosses centrales qui régulent l’adéquation production / consommation et comme les centrales nucléaires représentent près de 80% de ces centrales, ce sont elles qui subviennent pour au moins 80% dans le rattrapage des variations de l’éolien ! (contrairement à l’idée reçue que c’est le thermique à flamme qui compense… Je vous rappelle que l’électricité ce n’est pas magique ! Il faut la créer dans des alternateurs et cela prends un peu de temps d’amener une machine rotative de plusieurs tonnes (l’alternateur) à la bonne vitesse de couplage !!!).<br /> Cette correction est permanente car nous ne sommes pas en régime d’alizés. Il faut bien comprendre la configuration du réseau… les éoliennes sont en général sur le réseau de distribution (20KV). Elles délivrent localement leurs énergies aux abonnés, proportionnellement à la puissance du vent sur leurs pales. Elles délivrent une fréquence et une tension conforme au réseau mais une intensité proportionnelle à cette pression du vent. Ce qui veut dire que toute variation du vent entraine une correction d’autres producteurs pour toujours assumer l’adéquation production / consommation. J’irai jusqu'à dire que vu du réseau de transport (là ou sont couplées les grosses centrales) l’éolien est ni plus ni moins, l’équivalent à un aléa de consommation.<br /> <br /> 4) Non vous vous trompez. Un électron produit dans un alternateur ne peut parcourir plus de 200 km(en 400KV) en restant rentable. Après on modifie les transits des flux d’intensité (c’est à dire la configuration du réseau) avec les risques que RTE explique très bien dans sont document technique dont je me souviens plus du nom… Allez sur son site, vous le trouverez.<br /> <br /> 5) C’est le grand délire… On à jamais frôlé de black out !!! C’est n’importe quoi ou plutôt, c’est une histoire pour dire au français, vous allez bientôt payer plus cher votre électricité (alors que, globalement, on devrait la payer moins chère car le passage d’exploitation de 30 à 40 ans des centrales nucléaires fait passer le prix de revient du KWh à moins de 3 CTS d’€). <br /> On peut avoir un black out si un événement majeur survient sur le réseau. Par exemple perte d’un alternateur de 1200 MW. Dans ce cas, que ce passe t’il ? Les autres producteurs doivent compenser. Plusieurs phases très rapides permettent normalement d’y parvenir ! Par exemple passage en régulation tension (modification du réactif…) modification de la consigne fréquence et si cela ne suffit pas, délestage jusqu’à retrouver des niveaux de fréquences et tension normales. Si malgré ces actions, cela ne suffit pas on peut ne plus maitriser les délestages et dans ce cas, les sécurités vont agir seules jusqu’à ce que le réseau soit complètement sécurisé. Très probablement, plusieurs départements ou régions seront dans le noir. Mais comme vous l’avez justement écrit, les ingé RTE maitrise bien leur sujet.<br /> Par contre, si il n’y à pas d’événement majeur et si on ne peut acheter de l’énergie à l’étranger, il ne reste qu’à délester. Mais dans ce cas c’est totalement maitrisé par les opérateurs RTE. C’est vrai qu’après ont peut refaire le monde en expliquant que les réseaux sont saturé et que l’éolien étant répartis évitent …. Oui ! c’est vrai… mais s’il n’y a pas de vent, on fait comment ????<br /> <br /> <br /> <br /> Pour mes conclusions, vous avez raison on ne connaît pas le cout réel du KWh mais regardez le sourire bon enfant des responsable EDF lorsqu’ils en parlent… Actuellement le budget prévisionnel d’un EPR est de 3.6 milliards d’€. Sachez quand même que le cout des anciennes centrales, à puissance équivalente, était deux fois moins élevé avec une durée de vie de 30 ans (actuellement repoussée de 10 ans).<br /> Concernant les problèmes écologiques et patrimoniaux, désolé mais vous devriez un peu vous promener. Ce qui ce passe est dramatique. On prend les Français pour des idiots et je doute que cela dure longtemps. Concernant les déchets nucléaire, encore ce sempiternel sujet très mal compris, les déchets des centrales nucléaires seront les futurs combustibles des réacteurs de génération 4 ou ils seront pratiquement tous brulés. Pour le reste, allez sur le site de l’AIEA, vous y verrez les chiffres en M3 et vous comprendrez par exemple que les centrales françaises produisent peu de déchets très dangereux (50 000 M3 principalement stockés en piscine) mais que la médecine nucléaire produit énormément de déchets également dangereux dont on ne parle jamais.<br /> Nous avons également comme conseillés des polytechniciens qui pensent exactement le contraire. JANCOVICI, Elisabeth HUFFER etc… et qui n’ont pas de carrière politique à gérer. Je prendrais comme exemple le showbiz ou des chanteuses très belles chantent très faux et d’autre très moches chantent très juste.<br /> J’ajouterai que l’objectif de 20% d’ENR en 2020 est une connerie et qu’il eu été souhaitable que l’objectif fixé à la France soit la diminution de sa dette 1800 milliards. La suppression du programme éolien aurait commencé par faire économiser une quarantaine de milliards… mais je ne suis pas sur qu’aujourd’hui, cela veuille dire encore quelque chose !
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M
@ g.jacquin<br /> <br /> Pour répondre à vos questions :<br /> <br /> 1) « une production proche de 1000 MW », c’est l’info donnée par le Syndicat des Energies Renouvelables. Ce chiffre est-il surestimé ? Je n’en sais rien. Mais j’aurais tendance à penser qu’il est fiable. Les gens du SER sont sérieux et même en période d’anticyclone, « on a tous un peu de vent au-dessus de nos têtes » comme me l’a récemment confié un ingénieur Supelec.<br /> <br /> 2) Si une telle production éolienne est dangereuse en pointe (mais ce n’est pas prouvé, je pense que les ingénieurs de RTE sont assez futés pour moduler les productions souples comme le thermique quand il y a un apport éolien sur le réseau), la mesure urgente n’est-elle pas d’éviter les pics de consommation, d’isoler illico les logements et d’arrêter de promouvoir le chauffage électrique responsable des pointes ?<br /> <br /> 3) Quand vous dites « à 91 000 MW il ne reste pas beaucoup de possibilité ». C’est justement le chauffage électrique qui est responsable de ces records de consommation. Si nos éoliennes nous évitent de recourir aux centrales thermiques polluantes ou d’acheter les électrons produits par les centrales à charbon allemandes, je m’en réjouis.<br /> <br /> 4) « La décorrelation des champs venteux n’avantage que le bilan global en MWH et non pas la sécurité de la production ». Pas vraiment d’accord. La décorrelation des champs venteux avantage le bilan global en MWh et permet aussi d’obtenir une production éolienne moins aléatoire : Du fait de cette décorrelation, on pallie aux inconvénients de l’intermittence de la production éolienne par une répartition optimisée des parcs éoliens sur le territoire.<br /> <br /> 5) Si on s’en tient au fait : On a évité un black out le 6 janvier et les jours suivants malgré des températures négatives sur tout le territoire.<br /> Est-ce du :<br /> - à des importations d’électricité de l’étranger ?<br /> - à nos éoliennes ?<br /> - à la compétence des gens de RTE ?<br /> - à la responsabilité des français qui ont modéré leur conso ?<br /> Sans doute un peu à ces 4 raisons. A moins que cette menace de black out soit une chimère destinée à nous faire encaisser la construction d’un 2ème EPR alors que le 1er est encore en rade, mais je ne le pense pas.<br /> <br /> En ce qui concerne vos conclusions avec lesquelles je ne suis pas d’accord, je récuse en particulier le c). Aucun EPR ne fonctionne actuellement et faire des comparaisons ultra précises sur les coûts du MW, c’est de la conjecture.<br /> Les problèmes écologiques et patrimoniaux à charge de l’éolien se posent aussi pour les autres sources d’énergie et avec plus d’acuité pour le nucléaire puisque personne n’a envie d’avoir des déchets radioactifs près de chez lui.<br /> <br /> « Pourquoi on n’a pas pris définitivement la décision de supprimer toutes les éoliennes de France ? »<br /> Parce que nous avons heureusement à la tête de ce pays, des gens censés comme Nathalie Kosciusko-Morizet, polytechnicienne et Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, qui, au pays du lobby atomique, a le courage de défendre l’éolien, l’une des énergies renouvelables les plus matures pour atteindre nos objectifs de 20% d’ENR en 2020.
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M
@ g.jacquin<br /> <br /> Pour répondre à vos questions :<br /> <br /> 1) « une production proche de 1000 MW », c’est l’info donnée par le Syndicat des Energies Renouvelables. Ce chiffre est-il surestimé ? Je n’en sais rien. Mais j’aurais tendance à penser qu’il est fiable. Les gens du SER sont sérieux et même en période d’anticyclone, « on a tous un peu de vent au-dessus de nos têtes » comme me l’a récemment confié un ingénieur Supelec.<br /> <br /> 2) Si une telle production éolienne est dangereuse en pointe (mais ce n’est pas prouvé, je pense que les ingénieurs de RTE sont assez futés pour moduler les productions souples comme le thermique quand il y a un apport éolien sur le réseau), la mesure urgente n’est-elle pas d’éviter les pics de consommation, d’isoler illico les logements et d’arrêter de promouvoir le chauffage électrique responsable des pointes ?<br /> <br /> 3) Quand vous dites « à 91 000 MW il ne reste pas beaucoup de possibilité ». C’est justement le chauffage électrique qui est responsable de ces records de consommation. Si nos éoliennes nous évitent de recourir aux centrales thermiques polluantes ou d’acheter les électrons produits par les centrales à charbon allemandes, je m’en réjouis.<br /> <br /> 4) « La décorrelation des champs venteux n’avantage que le bilan global en MWH et non pas la sécurité de la production ». Pas vraiment d’accord. La décorrelation des champs venteux avantage le bilan global en MWh et permet aussi d’obtenir une production éolienne moins aléatoire : Du fait de cette décorrelation, on pallie aux inconvénients de l’intermittence de la production éolienne par une répartition optimisée des parcs éoliens sur le territoire.<br /> <br /> 5) Si on s’en tient au fait : On a évité un black out le 6 janvier et les jours suivants malgré des températures négatives sur tout le territoire.<br /> Est-ce du :<br /> - à des importations d’électricité de l’étranger ?<br /> - à nos éoliennes ?<br /> - à la compétence des gens de RTE ?<br /> - à la responsabilité des français qui ont modéré leur conso ?<br /> Sans doute un peu à ces 4 raisons. A moins que cette menace de black out soit une chimère destinée à nous faire encaisser la construction d’un 2ème EPR alors que le 1er est encore en rade, mais je ne le pense pas.<br /> <br /> En ce qui concerne vos conclusions avec lesquelles je ne suis pas d’accord, je récuse en particulier le c). Aucun EPR ne fonctionne actuellement et faire des comparaisons ultra précises sur les coûts du MW, c’est de la conjecture.<br /> Les problèmes écologiques et patrimoniaux à charge de l’éolien se posent aussi pour les autres sources d’énergie et avec plus d’acuité pour le nucléaire puisque personne n’a envie d’avoir des déchets radioactifs près de chez lui.<br /> <br /> « Pourquoi on n’a pas pris définitivement la décision de supprimer toutes les éoliennes de France ? »<br /> Parce que nous avons heureusement à la tête de ce pays, des gens censés comme Nathalie Kosciusko-Morizet, polytechnicienne et Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, qui, au pays du lobby atomique, a le courage de défendre l’éolien, l’une des énergies renouvelables les plus matures pour atteindre nos objectifs de 20% d’ENR en 2020.
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G
1) Il est peu vraisemblable que la production éolienne en période d’anti cyclone ait été de 1000MW. Si on n’est pas en anti cyclone, très souvent il peut faire très froid mais cela ne dure pas (vent dominants d’ouest).<br /> <br /> 2) Une production de cette nature (1000 MW en éolien) est dangereuse en pointe sauf à prévoir son remplacement par d’autres sources en cas de calme venteux imprévu ou au contraire, en cas de fort vent (dépassement des conditions de service) ! On peut imaginer que RTE n’a pas pris de risque et à laisser certaines (grosses) centrales tourner avec une réserve disponible équivalente à la puissance éolienne !<br /> <br /> 3) En cas de plantage éolien (si RTE ne l’a pas prévu) c’est le délestage et si cela se passe mal, c’est le black out assuré car à 91 GW, il ne reste pas beaucoup de possibilité…dans les rapports RTE sur la sécurité, RTE prévoit de coupler un faible pourcentage d’éolienne en pointe et, compte tenu de la fiabilité de production de ces machines, on comprend pourquoi.<br /> <br /> 4) Une bonne fois pour toute, la decorrélation des champs venteux n’avantage que le bilan global en MWh et non pas la sécurité de production. Une éolienne qui tourne à Perpignan ne pourra jamais alimenter Lille et réciproquement ! Hors en cas d’arrêt brutal de production éolienne, quelque soit les champs venteux, il faudra complémenter ce manque par les centrales les plus proches !!! Du même coup, une nouvelle réorganisation du transit des flux sera réalisée (automatiquement) et c’est là que les problèmes issus de cette réorganisation peuvent générer des délestages, voir pire, un black out (délestages en série dus à une surintensité sur les réseaux qui ouvre les disjoncteurs de couplages des producteurs pour assurer leurs protections, entrainant par conséquences, une nouvelle augmentation d’intensité sur le reste du réseau… et ainsi de suite).<br /> <br /> 5) Ce qui s’est passé le 6 janvier doit être comparé dans le temps avec des conditions de températures identiques. Jusqu’à présent, il à souvent été observé (dans tous les pays européens) qu’en cas d’anti cyclone, le vent était inexistant. Donc ne faisons pas d’un cas particulier, une généralité ou alors démontrez-le !<br /> <br /> <br /> Conclusions :<br /> <br /> SI <br /> <br /> a) Si on n’est pas en pointe, le complément d’énergie subvenant aux aléas de la production de l’éolien est réalisé par les grosses centrales !<br /> <br /> b) Si on est en pointe, il y a du vent (alléluia !!! les éoliennes tournent) et les températures sont basses, on bride les grosses centrales pour ne pas courir le risque de mettre la France dans le noir !<br /> <br /> c) Les couts connus de la construction de grosses centrales par rapport à la construction d’éoliennes de puissance équivalente sont de l’ordre de… 3 moins moins chères !<br /> Il faut en moyenne annuelle 4 fois plus de puissance éolienne installée pour obtenir l’équivalent de l’énergie produite par une grosse centrale : exemple pour un EPR de 1600 MW, il faudra installer 4 x 1600 soit 6400 MW d’éolienne pour espérer produire la même quantité d’énergie qu’un EPR sur un an !<br /> Cout du MW éolien = 1.6 million d’euros<br /> Cout de remplacement d’un EPR par 6400 MW d’éoliennes = 10,240 Milliards d’€<br /> <br /> d) Tout les problèmes écologique et patrimoniaux connus à charge de l’éolien<br /> <br /> e) Etc…….<br /> <br /> ALORS<br /> <br /> Pourquoi, on n’a pas pris définitivement, la décision de supprimer toutes les éoliennes de France ?
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